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['[l’amour de Madame Babaud pour sa fille comparée à S.: par rapport à elle] Madame de Sévigné était de glace (1739, I 121, p.457),\n[..] tu peux assurer Baliverne [= Mme Rouot] que sa commission sera faite de mon mieux. Elle est folle de s\'excuser de ses lettres qui sont en vérité dignes de Md. de Sévigné. Elle a trop d\'amour-propre. [..]\nnovembre 1744 t. 6, p.72, lettre 776: [..] Je lui ai planté un livre à cette Duplessis tout à travers des mains, et me voilà avec toi tout comme si nous étions seuls [allusion à Sévigné]\njanvier 1745 lettre 798, p. 162: [..] Bonsoir, je n\'ai plus rien à te dire. J\'ai encore mille lettres à écrire et il me semble que je parle dans un sac, comme dit Mme de Sévigné. [..]\n[pour décrire l’amour d’une amie, Madame Babaud, pour sa fille de sept ans:] “C’est une passion violente. [par rapport à elle] Madame de Sévigné était de glace” (1739, I 121, p.457)\ncf Isabelle Landy-Houillon, "Les lettres de Mme de Graffigny entre Mme de sevigne et Zilia: étude de style", dans Georges Berubé et Marie-France Silver (eds) La lettre au XVIIIe siecle et ses avatars. Toronto, GREF, 1996, p67-81\n68: "la liberté d\'ecriture chez les deux epistolieres releve d\'une pratique et d\'une signification radicalement differentes"']
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