Notes |
["Edmée [dit-il..left out by Sophie] était au sein de sa modeste obscurité une des personnes les plus parfaites qu’il y eût en France. Pour qu’elle fût citée et vantée entre toutes, il ne lui a manqué que le désir ou la nécessité de se faire connaître au monde. Mais elle était heureuse dans sa famille, et la plus douce simplicité couronnait ses {rajout: hautes?} facultés et ses hautes vertus. Elle ignorait son mérite comme je l’ignorais moi-même à cette époque, où, brute avide, je [ne voyais que par les yeux du corps et - weggelaten door Sophie] croyais ne l’aimer que parce qu’elle était belle. Il faut dire aussi que son fiancé, M. de La Marche, ne la comprenait guère mieux. Il avait développé la pâle intelligence dont il était doué à la froide école de Voltaire et d’Helvétius. Edmée avait allumé sa vaste intelligence aux brûlantes déclamations de Jean-Jacques. Un temps est venu où j’ai compris Edmée; le temps où M. de La Marche l’aurait comprise ne fût jamais arrivé.\r\n\r\n(chap. X)\r\n\r\nIl était deux heures du matin ….. [scans ontcijferen!!!]\r\n.....\r\nJe tombai à genoux, je pris sa main, je la couvris de baisers, j’éclatai en sanglots; elle ne s’aperçut de rien. Sa main immobile et glacée resta dans la mienne comme un morceau d’albâtre.\r\n\r\n(ch. XXII)\r\n\r\nOriginal work record was broken, assuming this is a reception of 'Mauprat' jdg nov12"]
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