| Notes |
['t.VI, p.201 Lettre à J-P de Chambrier d’Oleyres ; 22 janvier 1801\n“J’attends aujourd’hui ou demain les Mères rivales …” (avec scepticisme)\n\nt.VI, p.212 à Ludwig Ferdinand Huber ; 4-5 février 1801\nLes journaux sont remplis des deux dames Mme de Genlis et Mme de Staël. “L’une a pour elle les Philosophes, l’autre les dévots. Quelle pitié. “ […]\n\n“Mme de Genlis à mon gré est trop deutlyk (explicite), Mme de Staël pas assez klaar (clair)\n\nLettres à Willem-René van Tuyll van Serooskerken, \n\nt.VI, p.208 début février 1801: “je viens de lire les Mères rivales, mauvais mais attachant roman”\n\nt.VI, p.232: 6 mars 1801: Les Mères rivales, roman très populaire, 4 volumes. Les librairies sont contents.\n\nLettres à Benjamin Constant :\n\nt.VI, p.217: 20 février 1801:“Quel roman que ces Mères rivales. C’est comme une enseigne de cabaret. De si fortes couleurs un si gros pinceau et qui revient à coups redoublés sur un même trait dur et tranchant. Ce livre est ignoble, de mauvaise compagnie, mais quatre volumes!\n\nt.VI, p.223 : 23-25 février 1801:“Oh ! que j’aurais bien pardonné à Mme de Genlis d’avoir laissé de côté son jardin allégorique et toutes ses dissertations”\n\nLettres à Isabelle Morel de Gélieu :\nt.VI, p.514 :1 novembre 1802 et t.VI, p.609 : 1 octobre 1805\n“me préféreriez-vous Mme de Genlis ? non assurément.']
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