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['* Print\nPublisher: Gosse\nLocation: La Haye\nYear: 1775.\n\nIncludes: - a lengthy review of "Sebaldus Nothanker" (by Friedrich Nicolai) - literary news about Smollett and Sterne - a critique of Helvetius\' atheism. (Info Clarissa Campbell Orr, oct. 2006) 15 lettres envoyées à une amie: aucune preface etc. p.1: Vous pretendez donc, mon Amie, etre beaucoup plus a plaindre que moi, ceux qui restent, dites-vous, font une perte et ceux qui pqrtent ne font qu\'un echange. Ah! si vous saviez ce qu on perd quand on vous echange, vous ne ,e croiriez pas dedommagee. Nos principes, nos gouts, nos caracteres, tout nous rapprochait: combien j aimais a lire dans votre ame, a retrouver mes idees, mes sentiments dans les votres! Etait-il besoin de me rappeler la promesse de vous ecrire? [..] p.2 [] je me bornerai donc a vous faire part des idees que vos lettres, mes lectures, ou le hasard me feront naitre. [] SEconde lettre p.3 Je veux vous rendre compte d une conversation, que je viens d avoir avecMadame de B. [ sur ses deux filles ....] p.11 [] Vous pouviez ajouter, Madame, que les femmes d esprit sont exposees a faire plus de fautes que les autres. Souvent le gout de l etude les distrait deleurs devoirs essentiels, les degoute des soins domestiques [...] p.12 [] le proprietaire d un terroir fertile qui convertirait tous ses champs en parterre, ne serait pas plus insense que la femme qui ne connaitrait d autre emploi de ses heures que celui de relever ses charmes par la parure, ou d orner son esprit par des connaissances de pur agrement. [] 3e lettre p. 17 [CR de Thomas, Essai sur les Eloges] 4e lettre p. 21 Es-il bien vrai que les femmes n ont rien invente? Je le crois presque; nous savons broder le canevas et par des points savants orner la ,ousseline, mais nous n aurions jamais imagine le metier du tisserand. [] 5e lettre p. 23 Vous etes donc bien fachee, mon Amie, de ne pas savoir l Allemand, ne fut-ce que pour lire ce _Sebaldus_ dont on vous parle avec tant d eloges: je viens de le lire et je trouve qu on ne vous en a point exagere le merite. _Pour suppleer a mon ignorance_, disiez-vous, _il serait digne de mon Amie de traduire S[] en francais_. Avez-vous donc oublie mon abcienne repugnance pour la fonction de TRaducteur? Ne vous souvient-il pas qu en faisant mes premiers essais dans ce genre, je me comparais a une grande petite fille ennuyee d etre conduite a la lisiere, et de mesurer ses pas sur ceux / d un autre. D ailleurs j apercois toutes les difficultes de l entreprise ou vous souhaitez que je m engage. [] il me parait impossible d y transmettre [ dans une autre langue ..] les graces et l interet de l original. [resume + fragments traduits] 6e lettre p. 51 [sur Helvetius etc.] 7e lettre 58 [a propos de voyageur suedois] 8e lettre p. 64 [ anecdote danoise] 9e lettre p. 65 [suite Sebaldus] 10e lettre p.113 [ sur le Tout est bien - Newton, Rousseau, Voltaire mentionnes] 11e lettre p. 120 Je ne puis m occuper que de mon eleve, de ma chere Adelaide [] je decouvris qu elle avait pris du gout pour un des jeunes gens qui lui rendent hommage [ ... Spectator...] p. 128 [] Les femmes ne sont point appelees a jouer les premiers roles dans la societe, cependant [] 12e lettre p. 134 [suite education de cette Adelaide ... sorte d orpheline recueillie...] p. 135 [le _Messie_...] p. 139 Ali et Memnon, conte oriental 13e lettre p.155 [suite Sebaldus] 14e lettre p.199 [a nouveau Adelaide] 15e lettre p.201 [sur gout pour romans, heroines de La Calprenede comparees a celles de Dorat] Quel gruit au contraire ne peut-on pas retirer des romans de Richardson, de clui de / celui de Mad.e _de La Roche_, du _Voyage de Sophie_, des details charmants de _St. Preux_ sur la vie de JUlie _mariee-. [] Mais [] savez-vous qu un excellent critique vient de dire [que Sternheim est autobiographique ... elle en est tres contente ... derniere page = 205] svd sept08 ']
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