Notes |
['Hampton Court, 1 november 1796\n\nConnaissez-vous un nouvel ouvrage de Md. de Charrière (la soeur de Md. de Perponcher), qui vient de paraître? \nJe le trouvais dimanche chez la duchesse de Yorck, et je l\'emportais, étant curieuse de voir les productions de \ncet auteur que je connais personnellement, et qui à quelques travers joint beaucoup d\'esprit et (autrefois) \nd\'agrément. Cet ouvrage est une nouvelle, intitulée Les trois Femmes. Il est dit qu\'elle ne le publie que pour \nsoulager une de ses amies dans le malheur. Ce motif intéresse d\'abord pour l\'ouvrage qui se fait lire \navec intérêt aussi et même plaisir, quoi que au fond cela ne me paraît pas grand\'chose, et il y a \nune teinte de singularité, comme dans toutes ses productions. Toutefois je ne l\'ai pas achevé encore, \nainsi je dois suspendre mon jugement, et je ne veux pas guider le vôtre. Je vous embrasse, ma toute chère Loulou, et suis à jamais votre fidèle Maman.\nW.\n("Een onverwachte mening over Les Trois Femmes", in Lettre de Zuylen et du Pontet, 9 (1984), p. 12)\n\nNL:\n"[..] eigenlijk stelt het niet veel voor [...] maar ik heb het \nnog niet uit, en laat ik je niet van te voren beïnvloeden [...]"']
|