Notes |
['Paris: J.N. Barba.\n\nPar MM. ***\n\nAuthors:\n- Nicolas Gersin\n- Henri Simon Dautreville\n- Pierre-Frédéric-Adolphe Carmouche\n\nFirst performance at the Théâtre des Variétés, 24-06-1818.\n\nScene(s) takes place in a garden next to the Maison des Fous (madhouse).\n\np.21\n"Eulalie - Ah! mon Dieu! quelle colère! mon ami! mon cher ami!\nDoucet - Moi, ton ami?\nEulalie - Sans doute, ne reconnais-tu pas ta chère Eulalie?\nDoucet - En effet, j\'eus une femme qui portait ce nom.\nEulalie - C\'est moi.\nDoucet - Elle était jeune.\nEulalie - C\'est moi.\nDoucet - Elle était coquette, inconstante, est-ce encore toi? (Il la menace).\n[etc.]\np.22/23\nDoucet produces letters in which his wife supposedly defended her actions, rips them to pieces and throws the remains on the floor. After that, he walks away like a madman. However, Eulalie discovers these are not in fact her letters, but fragments from the play Fitz-Henry, which her husband was rehearsing.\n"(Elle lit). « L\'absence est le creuset où viennent se dissoudre toutes les affections humaines...[...] C\'est en publiant le crime et ses terribles effets...[...] Rôle du fou dans Fitz-Henry, mélodrame..» Ah! je suis prise pour dupe!"\n\nEulalie then returns the joke, pretending not to know her husband. Calls him Edouard.\n\nThey are then both mistaken to be two escapees from the nearby madhouse. They are able to prove they are a married couple with a kiss.\n\nFinal song - (Verse skipped during the performance):\nUne visite, certain soir,\nMe transporta vers la Tamise ;\nMais à Bedlam, que j\'allais voir,\nQuelle fut ma surprise!\nJ\'ai vu des usages français,\nUne intrigue fort bien conduite,\nBeaucoup d\'esprit, pas un Anglais....\nOh! la bonne visite!']
|