['Sand beweert dat ze niets geeft om de dichterskroon die men haar haars ondanks op het hoofd heeft gezet "(Que Dieu) en ceigne la tête blonde de quelque jeune Tebaldio ou le crâne ambitieux de quelque frère de Corinne."\nLubin remarque dans une note au pied de la page : "George pense-t-elle à la vraie Corinne, condisciple et rivale de Pindare ? Ou à l\'héroïne de Mme de Staël ? Le roman de cette dernière était à Nohant dans l\'édition originale française de 1807"\n(Corrie Kruikemeier)']