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['Lettre CCXXIV. A Madame La Duchesse de Saint-Leu, A Augsbourg. Mantes, 25 janvier 1820.\n\n"Sans doute, madame, que l\'on vous envoie les traductions des charmans romans de Walter-Scott, Rob-roy, l\'Officier de fortune, il y en a quatre ou cinq. Ils sont assez passablement traduits. Mais demandez un ouvrage charmant, ce sont les traductions des plus jolis contes de Maria Edgeworth et de miss Opie, auteur du célèbre roman le Père et la fille, que vous avez sûrement lu, car c\'est un chef-d\'oeuvre. J\'ignore pourquoi le traducteur a fait paraître ces contes sous le titre de Contes à mon fils, en imitation de titre que Bouilli a donné à son ouvrage, Contes à ma fille, composition grimacière, sans naturel, et dont la morale exagérée et romancière ne porte point coup, tandis que l\'ouvrage que je me permets de vous conseiller, est la morale en action de la manière la plus aimable et la plus utile à la jeunesse : le prince s\'en amusera beaucoup."']
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