| Notes |
["210:\n[...]\nCe Livre n'est autre chose que la préface d'un autre qui ne paraît point encore. La forme de cet ouvrage est certainement neuve. [...]\n211\n[...]\nMadame de *** erre sur beaucoup de sujets. [..]\n213\n[...]\nMadame de *** paraît très savante [..] elle cite jusqu'à du Latin; ce qui suppose qu'elle le sait. Quelle honte pour tant d'hommes, et même pour tant de gens soi-disant de lettres, qui n'en savent pas un mot! [..]\n215\n[...]\nIl y a dans ces Pensées errantes l'épisode d'une certaine Mérida, jeune fille, avec laquelle couche un de ses amants, qui lui fait un enfant. Cet épisode est suivi d'un autre où un abbé fait aussi un enfant à une jeune fille. Des aventures si ordinaires et si communes ne méritaient pas d'occuper le temps, la peine et le papier que l'auteur y a employés. [...]\n[svd]"]
|