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["Lettre à Edouard Rodrigues 15 nov 1871\nMon ami, voulez-vous me donner 200 francs? [pour sauver...] une vieille demoiselle bonne, intelligente, sainte et respectable, qui ne veut pas demander et qui ne veut pas qu'on dise son nom en demandant pour elle. Je vous la nommerai tout de même. C'est Mlle de Flaugergues qui a fait de belles poésies [...]\n\nXXIII 126 15 juin 1872, à Juliette Adam\nMa Juliette, voulez-vous parcourir le récit que je vous envoie. C'est de Mlle F, une très vieille fille qui était l'amie et la garde-malade de mon ami Delatouche et qui est restée [curs] amoureuse de son tombeau [curs]; c'est une singulière personne qui a fait de beaux vers et dont le père a laissé un nom très estimé. Cet opuscule que je vous envoie, me paraît intéressant et fait à un point de vue qui n'est pas celui de tout le monde. Elle est catholique et [curs] patriote [curs], singulier mélange très sincère. S'il était publié, il y aurait, tout en lui laissant sa forme sincère et classique, à corriger des fautes de français, je m'en chargerais. Il y aurait aussi à expliquer l'originalité de la personne et de la situation [..] Je reverrais donc le tout avec soin, et j'y ferais une préface dès qu'un journal, l'Opinion nationale ou l'Avenir national aurait accepté la publication. Ajoutons que j'en demanderais le paiement pour elle, car elle est très pauvre - rien pour mon travail et ma préface, je n'ai pas besoin de vous le dire. [..]\n\np. 156 10 juillet 1872:\n[..] Quand cela aura paru, il sera peut-être possible de faire paraître une nouvelle édition des poésies de Mlle Flaugergues, car l'ancienne est épuisée et son volume introuvable. [... l'éditeur?] Elle n'en sait rien et n'est guère plus capable de se débrouiller qu'un enfant de 10 ans. Vous devriez vous faire la maman de la pauvre vieille et arranger cela pour elle. [..]\n\np. 166 19 juillet 1872, à Charles-Edmond : [...art. sur Fl.] je vous avais parlé de cela et vous m'aviez dit: [curs] Oui, si c'est intéressant [curs]. Etait-ce bien intéressant? Voilà ce que je me suis demandé en le relisant [...]\n\n443\nà Georges Guéroult 20-2-1873\n[l'argent ne vient pas]\n(svd jul08)"]
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