3 children (William, Maurice, Alexander)
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Correspondentie John Motley (London, 1889, 2 vols) dl. I, p.303-6: bezoek aan Sophie:
304:
[...] She is certainly very clever, remarkably intelligent, and with a great deal of information on all subjects, a person who has read much and/ acquired much and with much capacity for thought on high and important matters.
Altogether I have rarely made a morning visit on any lady where the conversation was more fluent, lively and interesting. [...]
vol. II
brief aan O.W. Holmes 27-12-1870
[..]
320
The Queen, with whom I have the honour to be acquainted for so many years, has placed a small house [..] at my disposition. [...]
to Lady William Russell
13-7-1871
p.322
[...]
I have nothing special to tell. We see, as usual, much of the Queen, and like her more and more. Her kindness is inexhaustible, and the constant communication with so brilliant and cultivated a woman is certainly a great privilege and pleasure. Yesterday we made a long excursion with her, going to Haarlem by rail, [...]
to Lady William Russell
29-8-1871
[...]
p. 325
Her Majesty is as agreeable and gracious as ever [..]
to O.W. Holmes
22-1-1872
[...]
332
Of all who live here, I should be ungrateful if I did not mention first and foremost the Queen. I have rarely known a more intellectual or accomplished lady or sincerer /
friend. Nothing could be kinder or more constant than her attentions to us. We see her every few days, either at her own palace or at our house. [...]
Ernest Renan dans RDM 1877 XXI, p.952-955:
952:
Un grand deuil pour ceux qui aiment la France, en même temps que les bonnes et belles choses, est la mort de la reine Sophie de Hollande. [...] Elle eut en effet au plus haut degré les qualités que le trône exalte, mais ne crée pas. [...]
953
[...] L'éducation virile que reçut la reine Sophie à la cour de Wurtemberg, sa riche et ouverte nature, lui inculquèrent de bonne heure ces grands principes [philosophiques] comme une foi, mais une foi qui ne sait pas ce que c'est que nier et haïr.
954
Elle aimait aussi la France. Le jour de son mariage, en 1839, à Stuttgard, le ministre protestant qui prêchait crut devoir relever son sermon par une diatribe contre Napoléon. Un jeune homme de dix-sept ans, cousin germain de la princesse, se leva et sortit. Ce fut dans cette petite cour un esclandre, une grosse affaire. "Si j'avais pu, j'aurais fait comme lui," dit-elle. [..]
Elle nous aimait avec nos défauts. Nos écrivains, nos artistes, nos hommes d'esprit, lui étaient familiers; elle les connaissait souvent mieux que nous.
Cette vie ardente se consumait elle-même; une sorte de feu intérieur dévorait une nature que rien ne laissait insoucieuse. Ce n'est pas que la reine ne sut se reposer. Sa tranquille Maison du bois, près de La Haye, respirait le calme et la sereine gaité. Des études historiques, où elle se complaisait et par lesquelles elle cherchait à se distraire des appréhensions du présent, étaient pour son esprit un régime excellent.
955
Sa vie, nous la méditerons peut-être un jour, quand il sera possible en pensant à elle de faire la part à autre chose qu'à la douleur et aux regrets.
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Contacts with Mrs Groen van Prinsterer (see website), Multatuli (BWSA-site biogr. Multatuli) and with Bosboom-Toussaint (Reeser, Briefwisseling, 1990, p. 192)
Published in article in the Revue des Deux Mondes;
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Collaboration/connections with male authors: Oliver Wendell Holmes, Sr. or Jr.? jdgdec13
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